Le coronavirus ou la covid-19, c’est une innovation.
Devoir être confiné, seul ou accompagné,
Apporte son lot de peurs et de contradictions.
J’ai patienté, profité et enfin sorti,
A moins que cela ne soit pas encore fini.
Je vis encore le doute de ne pouvoir comprendre,
Ce que cette chose pourra enfin m’apprendre.
Je rêve de liberté, en corps et en pensées,
Et puis aussi de calme et plus de nouveautés.
Comme à mon habitude, je végète et soupire,
Tel un Macron, Blanquer et puis les autres sbires.
Je suis encore à ce jour confiné, patient,
Protégeant chez moi, avec ferveur, mes enfants.
L’école, les enseignants, malgré tous leurs efforts,
Ne peuvent décemment pas offrir du réconfort.
Les « gestes barrière » et la « distanciation sociale »,
Ces termes violents, séparatistes et rétrogrades,
Ne peuvent encourager, sous couvert de santé,
L’amour, l’empathie et les meilleures volontés.
J’ai repris récemment, avec un peu d’humour,
Le refrain de cette magnifique chanson d’amour,
C’est Jeanne Moreau et son tourbillon de la vie,
Qui me donne envie de chanter, pleurer et rire !
Alexandre Fort